Lokilendir : L'Ange du Chaos

Dans une forêt, un enfant au regard vide, à la bouche sèche, à la face rêche, porte entre ses mains le destin de personne d'autre que lui-même. Ni héros, ni sauveur ou encore bon samaritain, juste un enfant qui a trop vu, trop appris et ne sait pas quoi faire.


7 ans auparavant


Une ombre rôde, elle avance a pas compté et se rapproche de sa cible. Malgré le parterre feuillus elle progresse sans bruit le regard toujours rivé sur la femme. Arrivé a une dizaine de pied d'elle il bondit et l'agrippe par les épaules, la retourne, la femme hurle et crie. L'ombre décide de mettre fin a ses sons et d'un vif mouvement....il l'embrasse.
- Toujours autant discret Teremias a ce que je vois, dit-elle en souriant.
- Pour te surprendre ma douce je serais capable de tout, lui répondit-il d'un air tendre.
Couché sur le sol de la forêt, seuls, ils laissèrent libre cour a leurs passion. Passion honni entre un homme et une femme non mariés, passion maudite entre une femme de lumière et un homme d'ombre, passion interdite par leurs origine, et passion punies par le fruit qui en seras issus...

"Vite court !!" Lienor est réveiller en sursaut par cet affreux cris. Elle ouvre les yeux, des flammes partout dans le camps, des bandits qui courait et tuait sans vergogne, des gens courants dans tout les sens pour sauver leurs vies. Elle ne pouvait pas bouger, tétanisé de voir son monde s'écrouler, se consumer en quelques minutes là où des années ont été nécessaire pour créer. Elle cherche du regard un homme, une femme qui encore aurait cette lueur d'espoir qui venait de la quitter, mais tout ce qu'elle trouva fut ce regard de bête. Un coutelas à la main il approchait, il prenait son temps car il savait que personne ne le dérangerait, au pouvait voir dans ses yeux qu'il imaginait déjà tout ce qu'il lui ferait subir avant de l'achever. Arriver a quelques mètres d'elle il tombe, mort si vite qu'il n'as pus en être étonné ni chagriné. Lienor, malgré se sauvetage du Destin ni vois là qu'un repoussement de ses souffrances. Alors qu'elle se couche et cesse de respirer pour enfin quitter son enveloppe charnelle, elle sent un souffle d'air passer, à ses côtés Teremias le visage masqué, une dagues dans chaque main, posture de combat, la soutient de toute ses forces. Teremias se retourne et plante son regard dans celui de Lienor, le courant passe, une promesse, un futur, une raison de vivre. Il s'élance alors dans la bataille, fléau de ce monde, il passe à côtés d'un escogriffes et de la dextre, d'un mouvement vif et continu lui ouvre la panse d'est en ouest. Dans le même mouvement il se baisse et se relève en face d'un second bandit, en se levant il le sectionne en deux du pubis a la gorge de sa douce sénestre. Il virevolte et exécute tant les hommes que sa danse. Un bandit le vois venir et s'élance, puis tombe la gorge emboutis par le coude de son adversaire, un autre se présente par derrière, il se laisse tomber et évite de se faire couper la tête, d'une rotation il lui fauche les jambes, se relèves tel le cygne pendant que ennemie semble figé en suspension et d'un coup de pieds de face l'envoi valdinguer dans les fournaises d'une maison. Il marche et se mouve dans le Temps, il fauche les vies pour en protéger une autre. Jamais on ne sut combien de malandrins avait attaqué le camps mais la légende raconte que plus de 60 avait attaqués ce soir là et qu'aucun n'as arpenter la terre après.
Lienor en proie a de fortes vies passas souvent près de trépasser, mais Teremias veillait, il ne pouvait laisser sa bien-aimée s'en allez au monde de cette terre si tôt. Au lever du soleil enfin, elle reprit connaissance, son visage portait les stigmates de cette nuit endiablées, elle n'avait plus qu'une envie, mourir. Son regard n'avait plus cette éclat céleste, son sourire n'était plus qu'une ligne dure sur son visage. Teremias en la voyant su l'étendu de sa souffrance, le mal causé par ces bandits, son coeur fut près de se briser, mais un espoir naquit en lui. Un frémissement lui parcourut l'échine, un sentiment qu'on lui avait appris a reconnaitre dans son enfance mais auquel il n'avait jamais fait attention. Un sourire fleurit sur son visage, il allât près de sa douce et lui susurra quelques mots au creux de l'oreille. Le phénomène se reproduisit, une flamme naquit dans ses yeux, son sourire recouvris son glorieux passé, ses traits s'adoucirent. L'espoir revenait....


(Histoire en plusieurs partis =D je raconte les début pour qu'on comprenne mieux la suite ^^)

Magnifique histoire tu as vraiment un tres bon style d'écriture

Merci Arc =)

Chapitre I er


Le village de Semperaiye était en joie, c'était le jour où l'on célébrait "Kouronawaza" ,le bonheur et la joie de vivre en langue ancienne. Des tentes de toutes les couleurs étaient dressées tant de la village qu'a ses bords, des gens de la région entière venait pour s'amuser, le temps de faire une pose dans les travaux et dans la vie, si difficile a cette époque. Où que les yeux on pouvait voir des jeux, des spectacles , des sourires, des enfants la bouche maculé de sucres ou dégoulinant de jus riants aux éclats. Des marchands venait là offrir leurs produits à prix abordables afin que tous puissent se faire plaisir et offrir des cadeaux. Une atmosphère de félicité régnait, même le temps se mettait a la page, le soleil rayonnait, les fleurs ajoutait leurs fragrance a cette période hors du temps. Parmi ces gens, un couple accompagné d'un bébé semblait être la famille la plus heureuse, le père ne cessait de couver sa femme et son enfant du regard avec dans les yeux un éclat particulier, et la femme, son bébé dans les bras, semblait ne rien voir d'autres en dehors de sa famille. Il vaquait parmi les attractions en s'arrêtant quelques instants face aux marionnettes, aux acrobates aux acteurs, tout ces aspects de la vie parodier et rendus amusants et doux grâce aux talents des comédiens. Eux même ne passaient pas inaperçue, il se trouvait toujours une femme pour louer la beauté sauvage de cette homme adoucie par sa joie, ou un homme lorgnant la femme et sa grâce féline. Passant devant un fleuriste, il prit une Jacinthe Blanche qu'elle accueillit avec cet inimitable sourire en coin qui lui valait tant de compliments. Une petite main se tendit et lui prit la fleurs avec force et détermination, l'as portas a sa bouche, et croqua, provoquant un rire tonitruant du couple, le bébé quant a lui grimaça d'abord du fait de la fleurs puis suivit ses géniteurs dans leurs trillent.
Il passait près des du ferronnier et tombèrent sur le terrain de joute, lieu principale de l'attraction qui aurait lieu du début d'après-midi jusqu'à la fin de la journée. Un chevalier sur son destrier vint apostropher le couple.
- Excusez moi de vous déranger mais ne seriez-vous pas Teremias ?
- Il fut un temps où l'on m'appelait ainsi.
Teremias reprit sa route mais le cavalier le suivit.
- Attendez un instant je vous prie. Cette après-midi en plus de la joute auras lieu un tournoi à l'épée, ne seriez-vous pas intéressé d'y combattre ? La prime est de 5000 Katus.
- Cela ne m'intéresse guère, je n'ai pas besoin d'argent.
- Mais enfin, répondit le chevalier avec véhémence, 5000 Katus ! C'est la plus grosse somme que vous ne verrez jamais dans un coin pareille !
- Dans ce cas pourquoi donc la prime est-elle si élevée ? dit Teremias d'un ton froid.
- Et bien...hum hum...parce que le champion du Seigneur Karandir y participe....
- Ainsi tout ceci n'est destinée qu'as impressionné une foule par les exploits du héros de Karandir.
- Oui je l'avoue, dit-il en rougissant, cependant vous pourriez, si votre réputation est vraie, le battre et ainsi l'humilier.
Teremias le sonda du regard, le jeune chevalier ne put le soutenir.
- Qui est-tu? demanda enfin Teremias
Il répondit, le torse bombé le regard brillant
- Raynart Jaidor, chevalier promus cette année après 5 années d'écuyer.
- Et bien Raynart ce soir je combattrais..
- Merci Monsieur, le coupa-t-il
-....mais près tu devras me dire pourquoi tu tiens tant a le voir chuter.
La gorge de Raynart se serras, il n'avait pas envie de dire pourquoi cela lui tenait a coeur, cependant il avait besoin de Teremias pour cela et son envie de voir le Seigneur Karandir chuter est plus forte que sa répulsion a avouer ses raisons.
- J'accepte Teremias. Après votre victoire je vous le dirais.
- Alors a ce soir.
Teremias s'en alla bras dessus bras dessous avec Lienor comme si de rien n'était. Un étrange sourire fleurissait sur son visage, plus épanoui, plus fort mais aussi plus violent moins doux comme si les paroles du jeunes chevalier avait ramener a la surface un passé qui ne demandait qu'as se manifester. Plus que quelques heures, environ 2 ou 3 et les duels commenceraient, le sang giclerait et les villageois connaitront pendant quelques instants magiques ce qu'est un véritables maitre au combat...

toujours magnifique t rp comme a ton habitude

superbe travail Loki ! j'espère que tu nous communiquera bientôt la suite que j'attend dès à présent avec impatience ^^

C'est... long... mais bien ! bon courage pour la suite ^^

Intrigant, j'attends de lire la suite avec impatience.

Chapitre II


Les premiers duels entre champions des Seigneurs invité et présent, en effet certain ayant été oublier se sont permis de s'auto-inviter, et candidat libre, le plus souvent attirer par l'appât du gain, se déroula sans évènement particulier, comme tout le monde s'y attendait ils vainquirent aisément ces opportunistes. Teremias, le dernier, entre en lice pour le premier tour. Il a pour adversaire Otto, le champion du Duc de Drovir. Ce dernier est un est fière chevaliers des marches de glaces, grands, blonds, le poitrail puissant et saillant sous une veste en fourrure aux manches inexistantes. Ses énormes biceps menaçant de faire exploser les cercle de fer qui les ornes. Son arme de prédilection, comme tout les combattants des marches du nord, la hache était longue de plus de 4 pieds avec une lame en papillon sur lesquelles ont pouvait voir des glyphes de pouvoirs. Il avance dans l'arène la tête haute et fière, l'arrogance modèle ses traits pour en faire le parfait exemple du guerrier qui ne connait pas la peur. Il salue la foule et s'incline face aux maîtres de cérémonie et son seigneurs.
Teremias c'était comme à son habitude habillé de cuir noir de buffle. Un justaucorps avec des mailles fines et légères, un pantalon en cuir moulant pour épousé chaque centimètre de sa peau et lui permettre des déplacement optimaux. Il a ôté de sa ceinture les fourreaux de ses poignards et c'est munie de sa fidèle épée, 3 pieds et de mie de bon acier stellaires. De fine striures la parcours sur la longueur de la lame, à son côté bat son fourreau, noir lui aussi d'une matière inconnue, probablement un cuir d'un pays inconnue. A son tour il s'avance sur le sable de l'arène, il parcours les gradins du regard et voie tout ces visages qui réclame du sang et de l'action. Pas à pas il s'enfonce dans le stade, arrivé face aux maîtres de cérémonie il esquisse une courbette sans toutefois s'incliner à la mesure de Otto. Le Seigneur prends la fine lame d'acier et la lance dans l'arène, elle se plante a la verticale annonçant le début du combat...et qu'il était a mort.
Les deux protagonistes regardent la lame puis se fixent dans le blanc des yeux, aucun des deux ne doute de l'issue du combat, ils s'écartent puis se mettent en garde. Le duel peut commencer.
Dans un hurlement destiné à ébranler son adversaire Otto lève sa Hache et l’abat sur Teremias, ce dernier, lestement s'écarte à a sa droite et lui lacère le flanc gauche. La blessure est assez profonde pour saigné mais assez superficiel pour ne pas mettre en danger Otto. Il sait que son adversaire a fait exprès de ne pas l'achever des le début du duel, cela le met en rage. Lui le Premier Lame du Nord épargné comme un faible ! Il va faire regretter à son adversaire sa bonté en lui enfonçant 3 bon pied d'acier dans le corps !
Teremias voit le regard d'Otto flamboyer de honte puis de rage, il sent la vigueur dans les coups du géant blond, cependant ce n'est pas la peur que cela déclenche en lui mais la peine, au lieu de voir la supériorité de son adversaire et s'en méfier se dernier avançait à l'aveuglette. Il esquive un nouveau coup qui menaçait de le décapiter en se laissant tomber dans un genou, d'un coup d'estoc il lui enfonce la lame dans le ventre, puis la remontre, lui vidant les entrailles sur le sable déjà rougie de l'arène. Pour lui ce n'était pas un duel, cet adversaire était bon et fort mais si stupide que cela en devient un handicape. Il se relève et entends a nouveau le boucan assourdissant des spectateurs, ces monstres avides de sang, il ne c'était pas aperçue qu'il ne percevait plus leurs crie, pris qu'il était dans le duel et la concentration. Pour facile qu'il paraisse, Teremias savait qu'il venait d'accomplir, au yeux des spectateurs et nobles un exploit, pour lui ce n'était qu'une formalité doublé d'une boucherie.
Il attendait avec impatience son duel avec le champion du Seigneur Karandir, on dit de lui que c'est un maître d'arme hors-pair.Teremias souris, Qui sait, peut-être le duel pourrait durer d'avantage que le temps de 10 battements de coeur.
Dans les gradins, un homme au masque noir l'observe; il analyse ses mouvement, ses passes et ses expressions. Sur son visage apparaît un sourire, image même de celui carnassier de Teremias, ainsi il avait peut-être enfin trouvé son égale.

Toujours aussi magnifique Lokilendir ! En revanche, je te conseille d'aérer un peu tes textes, car malheureusement cela décourage un peu en voyant ce grand nombre de lignes. Pourtant, le plaisir de lire tes écrits m'encourage encore et je n'ai eu aucun mal à lire ce fabuleux combat. Alors, bon courage pour la suite et au plaisir de lire très vite la suite.

Merci.
Oui je saute des lignes et fais les alinéas mais a chaque fois sa revient a la ligne et sa compresse le texte =S